lundi 30 juillet 2012

Un pique nique et le livret "Comment cuisiner sans gluten" de Valérie Cupillard à gagner

La semaine dernière, nous avons pu profiter d'un véritable été. Quel bonheur de sortir enfin en tee-shirt (sans gilet sous le bras), d'aller se balader en vélo et de manger dehors ! Un joli prétexte pour déjeuner avec mon amoureux et réutiliser mes bentôs, remisés au fond du placard depuis un bon moment.


Au menu :
- une purée de pommes de terre et carottes dans lequel on a fait couler un œuf mollet
- quelques rondelles de concombre nature (je me rends compte que c'est ainsi, sans assaisonnement, que je le préfère)
- des brochettes de bacon cru et de billes de melon
- des cookies surprises...


... dont je vous propose de deviner l'ingrédient principal. Le gagnant recevra le livret Comment cuisiner sans gluten ? de Valérie Cupillard, petit livre qui m'a été bien utile lorsque j'ai commencé à supprimer le gluten de mon alimentation. Il se morfond maintenant dans un tiroir de ma cuisine, et je voudrais qu'il continue ses bonnes œuvres auprès d'un autre novice ! Vous avez jusqu'à vendredi soir minuit pour tenter votre chance !

Edit du 31 juillet : C'est Belleblé qui a trouvé l'ingrédient principal de ces cookies ! J'ai en fait réalisé une variante de cette recette de Green Kitchen Stories, avec des azukis et de la caroube en remplacement de la moitié du cacao. Ils étaient délicieux mais ne semblent pas se conserver plus de 24h, à moins d'augmenter la proportion de farine. Merci à tous d'avoir participé ! :)

mardi 24 juillet 2012

Comment manger sain sans (trop) se ruiner (1) : guide d'achat

Bon, je ne vais pas vous la faire "le bio, en fait, c'est pas cher", comme on l'entend parfois. C'est faux. Le bio est cher (à moins de changer radicalement son alimentation et de devenir quasi-végétarien) et son coût est justifié. Il ne peut donc malheureusement pas être à la portée de toutes les bourses, la mienne la première.

Mais il faut savoir ce que l'on veut. Et ce que l'on veut nous, à la maison, c'est manger sainement, parce que nous prenons un énorme plaisir autant à cuisiner qu'à prendre soin de notre santé. Alors nous avons décidé de ne jamais faire l'impasse sur la qualité de nos achats alimentaires, sans pour autant dépenser des fortunes.
J'ai bien dit "ne pas dépenser des fortunes" : il ne faut pas se leurrer, bien manger à un coût. N'imaginez pas que je vais vous lister des sites secrets de hard discount de qualité, cela n'existe pas. Mais pour ceux qui rêveraient de manger tout bio et ne peuvent se le permettre, voici quelques pistes de consommation alternatives et complémentaires.


Les fruits et légumes frais

J'ai la chance d'habiter à quelques kilomètres d'une ferme qui vend toute l'année sa production de fruits et légumes issus de l'agriculture raisonnée. Parfois même, certains étés, les exploitants traitent en bio sans forcément le mentionner. Quand c'est la saison, on peut aussi cueillir soi-même certains fruits et légumes.
Ainsi, au printemps dernier, nous avons été cueillir des fraises à 2,90 euros le kilo. L'automne précédent, la cueillette des pommes affichait 0,85 euros le kilo.

Alors oui, je sais, je suis très privilégiée... Comment faire quand on habite en ville ?

- Renseignez-vous pour trouver une AMAP près de chez vous. Ces associations qui mettent en place des paniers hebdomadaires de fruits et légumes bio livrent dans les grandes agglomérations. Essayez par exemple Les Jardins de Cocagne.

- Allez faire un tour au magasin bio et au rayon bio de votre supermarché : certains classiques de saison sont très abordables (pommes de terre, carottes, oranges, bananes...). N'hésitez pas à comparer : parfois certains produits plus luxueux, comme les premières cerises, sont au même prix en bio qu'en conventionnel.

Une dernière astuce : certains fruits et légumes sont peu traités, même en conventionnel. De plus, les pesticides se logeant principalement dans la peau, il n'est pas forcément vital d'acheter bio un fruit ou un légume que l'on va peler. Je vous renvoie à cet ingénieux article de Little Miss Pharmacist pour une liste détaillée !

En bref
Le minimum syndical : achetez de saison, et local autant que possible.
Même pas en rêve : les fruits et légumes d'Espagne, qui peuvent être traités au bromure de méthyle, substance toxique interdite dans les autres pays de l'UE.
Idée+ : Et si vous faisiez ami-ami avec votre voisin, celui qui a un grand jardin et qui ne sait plus quoi faire de ses courgettes avoisinant les 2 kilos pièce ? Sinon, essayez le site Tournée Paysanne qui propose une livraison de produits directement du producteur à chez vous, pour un coût de transport à 0,99 euros.

La viande, la volaille et les œufs

Là, le bio fait clairement très mal au porte-monnaie. Voici quelques alternatives qui, à défaut d'être vraiment bon marché, sont en tout cas moins coûteuses. Essayez de privilégier :

- les petites productions locales, quand c'est possible, les volailles et œufs de poules élevées en plein air.

- la boucherie pour certaines pièces de viande, comme le bœuf haché, qui vous reviendront à peine plus cher que la barquette du supermarché.

- le label IGP, les filières Label Rouge et Bleu-Blanc-Cœur, qui proposent des produits de qualité, certifiés et contrôlés. Ils sont distribués par de grandes marques mais aussi par les marques génériques des grandes surfaces. Je suis notamment fidèle au jambon blanc et aux œufs plein air Auchan Label Rouge. Petit bémol : il n'est pas clairement mentionné que les OGM sont exclus.


Et le poisson ?

Là, concilier votre santé avec celle de votre bourse relève du défi. Idéalement, vous habitez en bord de mer et allez faire votre marché de poisson frais chaque semaine... Ce n'est pas votre cas ? Je n'ai donc pas de solution miracle à vous proposer, sinon quelques mises en garde avant d'aller acheter le premier produit venu au supermarché :

- Le label MSC qui garantissait des produits de la mer issus de la pêche durable est depuis peu soumis à controverse. Vous pouvez vous rabattre encore une fois sur les produits Label Rouge, comme le thon blanc ou le saumon fumé.

- Même si ce n'est pas le sujet ici, vous n'êtes pas sans savoir que certaines espèces, comme le thon rouge, sont menacées. Cliquez pour une liste détaillée.

En bref
Le minimum syndical : les œufs de plein air ! 
Même pas en rêve : fuyez les préparation type cordon bleu tout prêt au rayon frais. On ne peut rêver plus basse qualité.
Idée+ : pour une grosse commande de poisson occasionnelle ou les familles nombreuses, essayez l'achat en ligne sur monpoisson.fr. Je vous renvoie à l'article de Clea à ce sujet.




Les produits laitiers

Là encore, les ruraux sont privilégiés. Il leur est facile de trouver par exemple des crottins de chèvre frais dans une petite production locale pour un prix modique. Pour les autres, faîtes le tri dans les rayons de votre supermarché :

- plutôt qu'une marque réputée, misez sur la qualité des appellations AOC ou privilégiez les fromages au lait cru. Mon beurre chouchou : l'A.O.C. Charentes Poitou de Grand Fermage à 1,65 euros. Notez également que certains fromages à la coupe ne sont pas plus chers que leur homologues emballés et que l'emmental râpé bio d'enseigne de grande surface est souvent moins cher que les râpés des grandes marques non bio (regardez ce comparatif).

- côté yaourts et assimilés, les grandes surfaces proposent souvent des packs de 4 yaourts bio sous leur propre marque à moins de 1 euro. C'est le cas d'Auchan et de E.Leclerc.



 

Produits d'épicerie et cie

Difficile de lister tous les bons plans mais, là encore, les grandes surfaces seront vos alliées. Même si tout le monde n'en pense pas du bien, les campagnes du style "le bio à un euro" vous rendront de fiers services notamment pour :

- les produits sucrés : tablettes de chocolat noir, paquets de biscuits, etc. J'aime les prendre en bio (ou les faire moi-même) afin de limiter le plus possible ma consommation de sucre blanc. Attention tout de même côté biscuits à ne pas abuser de l'huile de palme souvent présente.

- les céréales et dérivés : spaghetti au blé complet, galettes de riz, farine de blé blanche ou bise, pâte feuilletée...

- les conserves : maïs doux, pulpe de tomates, petits pois... 


Enfin, si votre situation géographique le permet, allez voir ailleurs : comme je vis à Strasbourg, j'achète régulièrement en Allemagne des produits bio 20 à 30 % moins chers qu'en France. Côté caprices de luxe (comprenez graines de chia crues, huile vierge de coco et compagnie), c'est sur ce site américain que j'aime fouiner.


En bref
Le minimum syndical : si comme moi vous pâtissez beaucoup, mettez-vous au sucre blond bio (à acheter en vrac, environ 2,80 euros le kilo dans mon magasin Satoriz) et à la farine de blé bio. 
Même pas en rêve : le chocolat de ménage par lot de 4 tablettes, ça vous fait rêver, vous ?
Idée+ : la marque E.Leclerc a créé un site comparatif de prix, qui peut vous permettre de voir qui-est-le-moins-cher (hem) mais aussi de savoir quelles enseignes proposent quoi en bio.


Rendez-vous dans un prochain billet pour un deuxième volet d'idées saines et économiques, le fait maison.

jeudi 19 juillet 2012

Tartelettes rustiques aux myrtilles à la Kim Boyce

Je ne sais pas ce que vous en pensez, mais à mes yeux profiter pleinement des fruits de saison se résume à les consommer le plus simplement possible : natures, peu sucrés, en compote, en crumble ou encore en confiture.

Dans cet esprit minimaliste mais gourmand, les tartelettes sans moule de Kim Boyce avaient tout pour me séduire : une teneur réduite en gluten grâce à la farine et à la semoule de maïs, et un look rustique vraiment chouette... Bon, je vais être franche, la pâte n'est pas la plus facile du monde à étaler et à façonner. Mais le résultat en vaut vraiment la peine : je trouve l'ajout de polenta génial pour donner du croquant à la pâte, même quand celle-ci est détrempée par le jus rendu par les fruits.
La recette est adaptée de l'ouvrage Good To The Grain (récemment traduit en français et paru aux éditions La Plage), petit trésor d'inventivité qui propose des recettes intégrant un large éventail de farines différentes (quinoa, avoine, amarante...) et que je vous conseille vivement si vous êtes fan de pâtisserie bio. Ce sont d'ailleurs ces fameuses tartelettes qui sont en couverture.


Dans le panier de la Fée
pour 8 tartelettes

pour la pâte à tarte

130 g de farine de maïs
110 g de farine de petit épeautre
75 g de sucre brun
100 g de polenta
1/2 c. à c. de sel
50 g de beurre fondu
1 œuf
5 à 6 c. à s. d'eau

pour la garniture

250 g de myrtilles
4 c. à s. de sucre brun

Dans un saladier, mélanger tous les ingrédients secs de la pâte. Ajouter l'oeuf battu, le beurre fondu et enfin l'eau, une cuillerée à la fois. La pâte doit être souple et non collante.
Diviser la boule de pâte en 8 portions égales. Ensuite, le plus simple est de les disposer bien espacées sur une feuille de papier cuisson et de les étaler ensuite au rouleau, avec l'aide d'une paire de mains supplémentaire pour maintenir le papier cuisson en place.
Garnir chaque fond de tarte de myrtilles et rabattre les bords de la pâte par-dessus. Ajouter
éventuellement plus de myrtilles une fois la forme donnée, et saupoudrer de sucre.
Enfourner 35 minutes environ à 180°C. Déguster encore légèrement tiède !

vendredi 13 juillet 2012

Samoussas aux fruits d'été... par Golubka !

Je vous avais annoncé fièrement la nouvelle il y a quelques temps, le blog de Golubka a désormais sa version française, que je prends plaisir à traduire chaque semaine.

Aujourd'hui, c'est son auteure elle-même qui a gentiment répondu à ma requête de guest post : si vous lisez comme moi pas mal de blogs anglophones, vous avez dû remarquer que les billets écrits par d'autres blogueurs sont assez courants.

Et si, comme moi, vous êtes fan des recettes de Golubka, et que vous salivez devant ses magnifiques photos, vous devriez adorer la recette de samoussas fruités qu'elle nous a préparés... Thank you so much, Anya !

English version below.

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Bonjour, lecteurs de My Sweet Faery ! C'est vraiment chouette d'avoir été invitée à poster un billet ici.

Parfois, les meilleures recettes naissent par le plus grand des hasards, sans qu'on les ait réfléchies à l'avance, en utilisant les ingrédients du jour disponibles dans le frigo. C'est ce qu'il s'est passé pour ces samoussas aux fruits. J'avais plein de pêches et de prunes, de fruits rouges, et quelques jeunes noix de coco qui attendaient qu'on les utilise.


J'avais très envie de réaliser de fines crêpes de coco entourant les fruits juteux. Alors que je réfléchissais à la recette de ces crêpes, l'idée d'en faire des samoussas m'est venue à l'esprit. J'ai toujours eu envie d'essayer la technique de pliage en triangle, et à ma grande surprise, cela s'est avéré très facile.


Je sais que je vous le répète souvent, mais la chair de jeune noix de coco vaut vraiment la peine d'ouvrir la noix de coco. Avant je laissais mon mari s'en occuper, pensant que je n'avais pas assez de force pour y arriver. Et puis un jour, comme mon mari n'était pas à la maison, ou occupé, j'ai décidé d'essayer, et je ne le regrette vraiment pas. Ce n'est pas d'une simplicité enfantine, c'est vrai, mais il est très satisfaisant d'arriver à ses fins. Peut-être qu'un jour on trouvera de la chair de noix de coco surgelée dans les magasins. On peut rêver, non ?


Ces petits chaussons sont incroyablement goûteux. Ma plus jeune fille, Paloma, m'en redemande chaque jour. Je crois que je vais devoir ajouter des noix de coco à ma liste de courses.



Samoussas aux fruits d'été
(pour une douzaine de samoussas)

Les crêpes de coco
500 ml de chair de jeune noix de coco (en épicerie asiatique. Selon la maturité des fruits, il faut entre 1 et 3 noix de coco pour obtenir 250 ml de chair)
environ 60 ml d'eau de coco, plus si besoin
1 c. à s. de fruits rouges frais ou surgelés (facultatif), des airelles pour moi

Mixer l'ensemble des ingrédients, en ajoutant l'eau de coco cuillerée par cuillerée. Vous aurez besoin de plus ou moins d'eau selon la qualité de la chair de coco. Épaisse, la chair mûre requiert plus d'eau que si elle est fine et tendre. Assurez-vous que le mélange n'est ni trop liquide ni trop épais.
Étaler uniformément le mélange sur les plateaux du déshydrateur garnis de feuille Teflex ou de papier cuisson (j'ai rempli un plateau et demi de mon Excalibur). Déshydratez à 45°C pour 2 à 4 heures, voire plus, jusqu'à ce que les crêpes de coco soient détachables de la feuille Teflex. Retourner le tout et décoller la feuille Teflex. Déshydrater encore 30 minutes environ, en s'assurant que les crêpes ne deviennent pas trop sèches et friables. Elles doivent rester très souples.


Garniture aux fruits
environ 300 g d'un mélange de fruits, tels que cerises, fraises, framboises, myrtilles, cassis, groseilles, et pêches, nectarines, ou prunes coupées en tranches
4 c. à s. de sucre de coco
le zeste d'une orange
1 c. à s. de jus d'orange
les grains d'une gousse de vanille

Dans un saladier, mélanger doucement tous les ingrédients. Déshydrater à 45°C durant 2 ou 3 heures, en mélangeant de temps en temps.

Assemblage
Déposer les crêpes de coco sur une planche à découper bien sèche. Couper les crêpes en deux dans la hauteur, puis dans la largeur de façon à obtenir 8 rectangles égaux d'environ 7,5 x 17 cm. Déposer une grosse cuillère à soupe de la garniture fruitée d'un côté du rectangle. Plier un coin en diagonale afin de former un triangle. Recommencer avec les autres rectangles. Servir les samoussas avec du yaourt à la grecque ou un yaourt végétal à base d'avoine. S'il vous reste de la garniture, dégustez-les au petit-déjeuner avec un yaourt ou du porridge.

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Hello My Sweet Faery readers! It's great to be a guest here.

It's true that sometimes the best dishes are born when you don't plan for them, but rather throw something together spontaneously, working with what's in the fridge that day. That's the story with these fruit samosas. I had lots of stone fruits and berries on hand, as well as a couple of fresh coconuts that were awaiting their turn.

I craved for delicate coconut wrappers and juicy fruit put together in a sort of a crepe. While working on the coconut wrappers, the samosa shape came to mind. I've always wanted to try the triangle folding technique, and it turned out to be surprisingly simple.

I know I say this a whole lot, but young coconut meat is so worth the effort of opening the coconut. I used to let my husband do all of the coconut cracking, thinking that I was way too weak to do it. Well, one day when my husband was not home or too busy, I decided to give it a try and haven't looked back ever since. It's not an incredibly easy task, but definitely a satisfying one. Perhaps one day frozen coconut meat will be available in stores. We can dream, right?

These little pockets came out bursting with flavour. My little one, Paloma keeps asking for them every day. I guess more coconuts are on my soon to buy list.

Summer Fruit Samosas
(makes about 12 samosas)

Coconut wrappers
2 cups meat of fresh young Thai coconuts
about 1/4 cup fresh coconut water, more if needed
1 tablespoon fresh or frozen berries (optional), I used lingonberries
Blend the coconut meat, berries, and water in a high speed blender, adding the water one tablespoon at a time. You may need more or less water, depending on the coconut meat quality. Thicker, more mature meat requires more water than the thin, tender variety. Make sure that the mixture is not too runny, but not too thick either.
Spread your mixture evenly onto Teflex-lined dehydrator trays (I ended up with one and a half 15-inch tray this time). Dehydrate at 115F for 2-4 hours or more, until coconut sheets are ready to be separated from Teflex. Flip the sheet over and peel away the Teflex. Dry for another 30 minutes or so, making sure to not let your wrappers get too dry and crispy. They should be very pliable.


Fruit Filling
about 2 cups of mixed fruit such as cherries, strawberries, raspberries, blueberries, blackberries, currants, peaches, nectarines, plums - pits removed, sliced when necessary
4 tablespoons coconut sugar
zest of 1 orange
1 tablespoon of orange juice
seeds of 1 vanilla bean
Gently mix all ingredients together in a bowl. Dehydrate at 115F for 2-3 hours, mixing occasionally.

Assembly
Transfer your coconut sheet onto a dry cutting board. Cut the sheet down the middle, and then crosswise to receive 8 even rectangles, about 3 by 7 inches in size. Place a generous tablespoon of the fruit filling onto one end of the rectangle. Fold one corner over the filling diagonally, to meet the other side and make a triangle. Continue folding in this manner, until the whole wrapper has been folded. Serve with Greek or oat yogurt. You might end up with some leftover fruit, which is great to have for breakfast as a yogurt or porridge topping.

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Golubka

jeudi 5 juillet 2012

Confiture framboise-rhubarbe à l'ylang-ylang

Je vous en parlais il y a peu, les cristaux d'huiles essentielles se sont trouvés une petite place dans ma cuisine. Je m'amuse à les intégrer dans toutes sortes de plats, de cakes sucrés et autres salades estivales.
Et comme le temps des confitures est là, c'est avec plaisir que j'expérimente encore... Si vous n'avez pas de cristaux, vous pouvez doubler les proportions et ajouter une goutte d'huile essentielle d'ylang-ylang.


Dans le panier de la Fée
pour deux petits pots

225 g de framboises
125 g de rhubarbe épluchée (soit un bâton)
200 g de sucre brun
1/4 de c. à c. d'agar-agar
2 versées de cristauxd'ylang-ylang

Couper la rhubarbe en petits morceaux et la mettre dans une casserole avec le sucre. Faire compoter une dizaine de minutes puis ajouter les framboises. Poursuivre la cuisson 8 minutes, ajouter l'agar-agar en pluie et laisser frémir encore 2 minutes. Hors du feu, ajouter les cristaux d'ylang-ylang. Verser dans deux petits pots parfaitement propres et ébouillantés, visser les couvercles et retourner les pots jusqu'à complet refroidissement.